[BG Humain] Kariss de Iana

Kariss de Iana




Au début de chaque histoire il y a une personne et au début de chaque personnes deux êtres sensés s’aimer au plus au point. Cela va s’en dire qu’il est bon de commencer par ces deux êtres et les terres sur lesquelles ils ont vécus.

Les parents de Kariss :

A cette époque, il y avait beaucoup de guerre, famine et tout semblait pouvoir arriver.
La vie était difficile pour tout les gens issu de toutes les classes sociales, mais évidemment pas pour les mêmes raisons. Ces deux êtres avaient quelque chose de particulier : ils n’étaient pas issu du même rang social. L’homme de maison, commandant chef des armées du nord, est devenu paladin d’un reine, venue d’un pays lointain, exilée dans un ville proche de chez lui. Et la femme de maison, elle, était la servante préférée de la reine exilée puis est devenu femme au foyer après la naissance de l’enfant qui est à la base de cette histoire. L’histoire ne les concernant que très peu, il n’y a que leur rencontre et la création de l’enfant « prodige » dont le récit va faire part. Leur rencontre a d’ailleurs était d’une banalité banale : Natan de Iana, qui est la père du héros, est rentré au service de la « reine exilée» où il rencontra la servante préférée de cette dernière et qui deviendra plus tard sa femme. Et cette femme, elle, eut le plaisir et honneur de rencontrer le paladin de sa maîtresse qui lui donnera un enfant. Cet enfant a été fait comme on fait tous les enfants un jour ou la reine (au courant de la relation de sa servante avec son « garde du corps ») a congédié Natan et sa servante préférée pour (soit disant) penser, seule, à des choses que seule les reines peuvent comprennent.

Commencement :

Neuf mois plus tard et évidemment sans surprise, arriva Kariss de Iana qui mesurait presque 2 pieds et pesait environ 4 bonnes livrées (représente a peu près 3.5 kilogrammes) ce qui faisait déjà de lui un « bon bébé » fort et grand ou fort grand ! Sa petite enfance, aussi monotone que toutes les petites enfances se résumerait en trois verbes : dormir, manger, pleurer. Son premier mot, vers 2 ans à peine, a été, non pas pour ses parents, mais « palliouf ». Ce qui d’après sa mère le destinait à être un paladin ou guerrier comme son père.
Dès qu’il commença à grandir, il se fabriqua un bouclier avec une tôle volée au forgeron du village voisin. Il était amusant à voir, avec une passoire en métal sur la tête en guise de casque, son bouclier et un bout de bois qui lui sert d’épée qu’il brandissait aux quatre coins du monde pour faire tressaillir les mauvais qui s’en prendraient aux personnes qu’il protège derrière son bouclier. Il aimait à se vanter devant ses camarades.
-Je deviendrai plus fort que mon papa et peut être même que je deviendrai plus fort qu’un orc !
Ses camarades, qui déjà le redoutaient, riaient et se moquaient de lui mais essayaient d’être du bon côté du bouclier. Et combien de fois est-il revenu à la maison en annonçant qu’il avait secouru une jeune damoiselle que des garçons de mauvaise éducation embettaient.
Il a, dès son plus jeune âge, eu une attirance pour les filles de bonne famille de qu’il essayait le plus souvent possible d’impressionner.
A 10 ans son père lui offrit une vraie épée, un vrai bouclier et même un mannequin en bois pour s’entraîner. Seulement sa déception fut grande en découvrant le poids de son arme et il se rendit vite compte du fait qu’il ne pouvait pas enchaîner dix frappes sur le mannequin sans avoir l’impression qu’il allait perdre son bras. Son père le regardai sans rien dire et attendit sa réaction. Il fut surpris de voir un jour Kariss en train de faire des tractions sur un arbres : Ce qui constituait l’entraînement des guerriers pour améliorer leur résistance. Cet entraînement intensif qu’il s’obligeait lui-même à pratiquer fit de lui le plus beau jeune homme des villages aux alentours : Brun, ayant les cheveux mi-long qui lui barrait une partie du visage et le rendait mystérieux, une musculature d’athlète, bien dessinée (il passait souvent ces entraînement torse nu) mais pas exagérée comme le sont certains colosses. Et cela n’échappait pas aux jeunes filles qui parfois se cacher dans une haie de buisson pour assister à ces entraînements. Ces capacités continuaient de croîtrent de jour en jour, et il en allait de telle de sa réputation, si bien qu’après avoir été accepté à la salle d’armes de son père, il fut engagé pour des missions d’escorte de convois marchands, ou de personnalité plus ou moins importantes. Certaines personnes étaient venues de très loin pour demander ces services ce qui le fit voyager au fin fond du monde et améliora chez lui certaines connaissances linguistiques tel que le langage sombres ou un peu d’elfique…

La rencontre :

Un jour où il était se promener dans la forêt, une garde avancée, et un éclaireur à cheval passèrent suivis de dix hommes noirs qui portaient un baldaquin, à aucun moment les rideaux qui couvraient ses côtés ne bougeaient. Mais, au moment où Kariss allait faire demi-tour, un des porteurs trébucha sur une racine et lui permit de voir le plus beau visage humain de tout les mondes qui puissent exister : Une jeune femme endormie dans des cousins de soie, la lèvre inférieure légèrement pincée, souriante dans son sommeil, dévoilant un dentition blanche comme neige, des courbes généreuse et graciles, elle avait sûrement du sang elfique car son visage était fin et un peu allongés comme ses oreilles qui pointait légèrement. Kariss aurait cru qu’elle était nymphe ou autres créatures merveilleuse tant pour lui sa beauté était grande. Mais le rideau retomba, le ramenant à la réalité.
-On ne promène pas une nymphe dans un baldaquin, c’est une personne comme moi…
Cet épisode de sa vie l’a beaucoup changé car il a influencé les quelques années du reste de son enfance. Il avait 16 ans quand ce jour passa, elle devait en avoir trois de plus que lui. Jusqu’à 20 ans il rechercha cette jeune fille dont il ignorait tout sauf sa beauté infinie et presque inhumaine.

Recrutement :

A ses 20 ans, Une dizaine de soldats lourdement armées et un messager arrivèrent tandis qu’il martyrisait le mannequin de bois rafistoler de très nombreuse fois. Le messager s’avança.
-La duchesse du comté demande vos services de paladin, vous avez une semaine pour vous décider et vous présenter en ville.
-Euh…Mais…
Kariss se retourne vers sa maison.
-Bien ! Je…
Il n’eut pas le temps de parler qu’un des hommes déposa un rouleau à ses pieds et un claquement de talon plus tard tout les soldats étaient retournés et repartaient vers la ville. Kariss se posa sur sa paillasse et réfléchi. Il entra dans la cuisine où était sa mère plus décider qu’il ne l’a jamais été.
-M’man je part !
Sa mère, en train de cuisiner se retourne d’un coup.
-Tu ? Pars ? Toi ? Mon fils ?
-Oui m’man, les gardes de la duchesse son passé Pendant que je m’entraînait, elle requiert mes services.
-Et tu veux y aller ?
-Il fallait bien que je parte un jour pour chercher du travail et la le travail me trouve que veux tu de mieux ?
Sa mère baissa les yeux.
-Tu as raison c’est ta voie suis la comme tu veux !
Elle s’approcha de son fils et se levant sur la pointe des pieds, l’embrasse sur le front, comme un bénédiction.
Le soir même, il annonça sa décisions à son père qui l’accueillit avec fierté et un peu de peur car pour lui son fils n’était encore que très peu expérimenter : Ses seuls combats sont ceux de quelques convois attaquées. Mais très fier car lui avez du chercher du travail pendant un an.

Départ :

Quatre jours plus tard, pendant lesquels Kariss prépara ses affaires, s’acheta une nouvelle épée et un bouclier/porte, il partit en ville.
La ville n’était pas bien grande, il trouva rapidement son chemin et arriva donc à la garnison.
On lui fit déposer ses affaires dans une salle qui lui a été attribué. On vint le chercher quelques minutes plus tard et on lui dit de prendre toutes ces affaires : on va le déplacer vers les appartement de la duchesse qui réclame un audience. Il arriva devant la porte ouverte et s’arrêta sur le palier, respira profondément pour intérioriser sa joie, avant d’avancer vers la duchesse assise sur un fauteuil magnifique. En lui, il ressentit que la duchesse avait compris quelque chose.
-Mais quoi ? pense Kariss
Il lui sourit et reçut un sourire réciproque.
-Approche… Je veut voir le visage de la personne qui va me défendra dans un monde où les guerres sont top nombreuses.
Kariss approcha, mit un genou à terre, baissa la tête et attendit.
-Je ne suis pas reine, je ne mérite pas tant d’honneur.
Il entendit des bruits de pas, lave la tête et vit la duchesse marcher vers lui. Elle écarta doucement la mèche de cheveux qui lui barrait le visage et le fixa des ses yeux bleus.
-Je t’attendais…Kariss de Iana.
-Comment connaissait vous mon nom ?
Elle sourit
-Je m’appelle Elina Al Zenchutz.
Elle lui tend une douce main qu’il prit et qu’il baisa aussitôt avant de se relever. Debout en face d’elle, lui qui faisait maintenant 1 mètre 90 ne paraissant pas très grand.
-Que dois-je faire maintenant ?
-Tu veux passez le balai ?
Elle essaya de rester sérieuse.
Comprenant la supercherie il sourit à son tour.
-Je vais me retirer si vous voulez ?
Elle désigna la chaise à coté d’elle avec une moue à laquelle personne ne pourrait résister.
-Prends la !
Il prit la chaise et se mit devant où elle s’était rassise. D’un geste elle congédia gardes et serviteurs.
-Je n’ai guère besoin d’eux ici dans mon château avec mon paladin !
-Je compte bien les remplacer mon mieux.
-Ton futur, Kariss, te réserve bien mieux que ça.
-Vous connaissez mon futur ?
-Le tien non, le mien oui… et j’aimerai bien le changer.
-Nos vies ne font donc pas que se croiser ?
Elle sourit mystérieusement.
-Je peux juste te répéter que je t’attendais et te dire que si tu veux en apprendre plus sur moi je suis la pour répondre à tes questions.
-Dans ce cas…J’aimerai beaucoup savoir d’où vous vient votre beauté inhumaine ?
-En effet, elle n’est pas humaine, elle me vient de ma grand-mère qui était un elfe.
-Mais un accouplement entre un humain et une elfe est bien rare ?
-Ho ! Elle n’a pas fait ça de sa pleine conscience je pense. Mon grand-père était dirigeant d’une maison des plaisirs et un jour une elfe, les habits déchirés mais d’une grande classe tout de même vint le voir et lui demanda de lui donner une descendance. Mon grand-père ne se fit pas prier…Mais après la naissance de ma mère elle s’est suicidée.
-Pardon…
-Ce n’est rien mais j’ai enregistré le compliment qui allait avec la question.
-Je suis fier que vous l’ayez pris comme un compliment !
-Veux-tu dîner avec moi ?
-Je pense que je vais dîner seul si cela vous convient ?
-Oui, Je comprend cela me va parfaitement.
Kariss reparti vers sa chambre accompagné d’un serviteur. Il regarda ce dernier partir avant de fermer soigneusement la porte et s’étendre bras ouvert sur son lit. Il se sentait bien.

Relation :

Pendant des jours, les journées étaient écoulées à parler dans la chambre de la duchesse. Peu à peu, le tutoiement s’installa et, après un an et demi, il devinrent les « meilleurs amis » peut être trop meilleur parce qu’il ne sont pas rester longtemps amis. Malheureusement pour les deux amis l’entraînement de kariss s’intensifia à l’annonce d’une crise politique. Mais un soir il eu à dire tout ce qui lui pesait sur le cœur.
-Tu sais Elina, je ne t’aime pas comme je le devrais.
La duchesse le regarda d’un air à la fois doux et inquiet mais qui incita Kariss a continué.
-Les « meilleurs amis » s’aiment mais sans désir charnel…Alors qu’à chaque fois que je te vois ce désir me vent mais il n’y a pas que ça. Mon amour n’est pas celui de l’amitié, je t’aime…tout court…
Kariss allait continuer à parler quand elle posa son index sur ses lèvres.
-Chut…
Deux larmes étaient en train de couler doucement sur ses joues. Elle se rapprocha de Kariss et le regarda de manière à lui transmettre tout son amour. Doucement leur visage se raprochait, leurs lèvres finirent par se rencontrer et cet instant dura pour eux une éternité. Puis doucement encore, avec regret, ils se retirèrent.
-Moi aussi j’éprouve ce désir Kariss mais nous ne l’assouviront pas ce soir, laissons nous de temps pour réfléchir bien que j’ai déjà évalué les éventuelles conséquences de mes actes et pesé toutes mes paroles.
Kariss sourit, il était l’homme le plus heureux du monde mais il avait un peur : la peur de l’éphémère. Cette peur qui frappe tous les jeunes couples.

Chute :

Après un an et demi passé ensemble ils durent partir dans un long périple qui les emmena bien loin de cette ville.Ce périple ne se passa sans aucun problème majeur mais son but était de rétablir la paix entre deux comtés et il ne le permit pas ce qui eut des conséquences assez fortes pour si peu.
En effet, de retour le petit château où habitait la duchesse avait était investit par des étranger : Il avait tué tout les soldats et demandait à la duchesse de renoncer à son titre.
La chute de la duchesse fut vertigineuse en quelques jours elle est passe de duchesse à simple sans abris. Elle alla voir Kariss.
-Tu sais Kariss maintenant je ne te mérite plus…
-Tais-toi ! Je ne t’ai jamais mérité et nous sommes à peine sur un pied d’égalité maintenant !
-Non Kariss…Je me rencontre que j’ai été ton ombre pendant tout ce temps !
-Tu as été ma lumière…
-Mais je dois partir maintenant que je ne suis plus duchesse.
-Où que tu partes je te suivrais…
-Je connais mon avenir… Tu ne viendras pas avec moi dans la mort.
-Dans la mort !!?
-Dans la mort mon amour…
Et elle prit l’épée de Kariss et se l’enfonça dans la poitrine. Elle tomba à devant son amant qui n’avait même pas encore réagi. Il se leva, s’avança, et commençant à pleurer il tomba à genoux.
-NOOOOON !
Il commença à incanter : son but était de se sacrifier pour rendre la vie à sa compagne mais il n’y arriva pas et tomba dans le coma sur le corps d’Elina.

Vagabondage :

Il ne voyait rien.
-Aveugle ! Je suis aveugle !
Impossible mais pourtant il était bien aveugle. Puis après quelque jours sans manger ni boire Kariss revient peu a peu à la vie retrouvant ses sens dont la vue. Mais il n’était pas seul. Un groupe de cinq personnes, sûrement des brigands était assis autour d’un feu. Il n’était pas dépouillé, au contraire on lui avait déposé dessus une couverture dessus. Au milieu de ses hommes un homme en blanc (plutôt du gris qui avait été autrefois du blanc) portant une tunique déchirée le regardai et le vit ouvrir les yeux. Il comprit que ce vieillard avait compris qu’il y voyait et qu’il n’était plus aveugle.
-Ca y est : Mon petit fils reviens à la vie.
-Je suis votre petit fils ?
-Tu es mon petit fils ! Je t’ai reconnu au nom de Iana qui avait été le mien autrefois.
-Vous êtes du côté paternel donc.
-Oui, mais maintenant je ne suis plus qu’un vagabond un voleur…
Le vieillard lui tendit une bourse contenant 50 000 pièces d’or.
-Vas maintenant il faut que tu t’en ailles : tous mes camarades voulait te tuer alors pars et n’essaye pas de revenir !

Et pendant un an Kariss errât amassant en volant un petite fortune pour pouvoir un jour se reconstruire. A la fin de cette année il avait 27 ans, 20 millions de pièces d’or, et il décida que la seule issus était de revivre un nouvelle vie.
Il parti donc sur les terres de la riviere de Gaia dont il avait entendu parlée et qu’il avait choisie au hasard pour la revivre.

Ca fait plaisir de voir que nous avons de plus en plus de gens qui apprécient le Role Play

Tu ne l'a peut être pas vu dans les annonces, mais nous avons un forum spécialement réservé au RP à cette adresse :

http://rp-rog.forumc.biz/index.htm

Je suppose que tu est aussi Liriel ^^ donc pour ma part aucun soucis pour vous rejoindre sur le tit fofo rp qui est jolied'aileur !